mardi 25 octobre 2011

Causes socio-économique

Lors du passage des ouragans Lothar et Martin, la France vis sont réseau électrique ébranlé. Certains commerçant ont eut la mauvaise surprise de retrouvé leur commerce avec certains dégâts causés par les ventes et les nombreux débris qu’ils transportaient. L’économie du pays fut donc touchée. Les magasins qui n’ont pas pu ouvrir ont dû mettre au manque à gagner des pertes de revenu, et des salaires. Les commerçants ont également eut de bonnes sommes à investir pour rendre l’esthétisme à leurs bâtisses.

Les quelques commerces qui ont ouverts, surtout de restauration, ont pu profiter du manque d’électricité de certaines régions pour faire de bons petits magots. Les dégâts de 9 à 15 milliards d’euros ont créé beaucoup de travail pour certains domaines de l’économie, dont la construction, ce qui fit augmenter les revenus de certaines entreprises. Le gouvernement tant qu'à lui n'a eu d'autre choix que d'augmenter le fardeau de sa dette pour être en mesure de répondre à la situation d'urgence.

Photo illustrant des dégâts suite à l'ouragan Lothar

mardi 4 octobre 2011

Conséquences physiques

La qualité de vie du pays francophone a un impact direct sur les dommages que les  tempêtes ont causé à sa population. La qualité des bâtiments et des mesures préventives permirent de limité les mots à 88. L’élément le plus fortement atteint dans le pays fut le réseau électrique. Les fortes rafales de vent ont privé environ  3 500 000 abonnés des services de leur fournisseur d’électricité.

La bonne qualité des constructions à permis de réduire les dommages aux bâtiments, mais certaines parties des constructions, plus vulnérables aux vents, furent tout de même touchés par les deux ouragans.  La valeur des bâtiments touchés augmente toutefois rapidement le total des dommages.

Le territoire boisé de la France fut le plus atteint. Plus de 45 millions de mètres cube de chablis fut endommagé.

Les pertes totales du pays sont estimées à environ 9 à 15 milliards d’euros.

Image d'une forêt après le passage des ouragans